Entre ciel, sable et océan, la Femme danse à la source des orages, sur ce non-lieu qui n’est plus la mer, qui n’est pas encore la plage. Ce non-là où tout reste possible, où se préparent les grandes choses comme les minuscules, où tout prend germe. Pour le pire. Pour le meilleur, voire les deux ensembles.
Suite de Tankas à lire, ouïr et voir.